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Pratique du droit de la presse 2023/2024 - Presse écrite édition - télévision - radio - Internet
Pratique du droit de la presse 2023/2024 - Presse écrite édition - télévision - radio - Internet
Christophe Bigot
L’information, et plus généralement l’expression publique, sont des activités encadrées par de nombreuses règles. La première d’entre elles et la plus emblématique est la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, qui représente l´approche d´un compromis optimal entre l'exercice de la liberté fondamentale de l´information et la protection des droits des personnes. Son principe de liberté, limité par des incriminations précises (la diffamation, l´injure, la provocation à la discrimination ou la haine…) et ses mécanismes de régulation de l´information, tels que les droits de réponse et de rectification, restent une référence. Cette loi a su s’adapter aux problématiques nées des nouvelles technologies et des nouveaux médias et à leurs formes d´expression inconnues jusqu´alors, et régit l´ensemble du monde de la communication. Mais ce bloc de règles n’est pas le seul, loin s’en faut, à régir cette activité. D’autres textes ont pris une grande importance. Il en va ainsi des droits de la personnalité, notamment la protection de la vie privée et de l’image, dont le contentieux n’a cessé de croître depuis l’introduction de l’article 9 du Code civil en 1970. Il ne faut pas non plus oublier les multiples infractions régissant l’expression publique qui figurent dans le Code pénal ou le dénigrement qui relève de l’action en responsabilité civile. Cet ensemble hétéroclite est en outre menacé depuis peu par l'hégémonie du droit des données personnelles, qui voudrait s'imposer comme instrument de régulation des contenus dans l'univers numérique. Enfin, notre droit de l´information s´envisage aujourd´hui autant dans un cadre purement national que dans le contexte d´un droit européen très riche résultant de l´application de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l´homme et des libertés fondamentales, exigeant du juge qu’il renouvelle ses pratiques, pour tenir compte de notions telles que l’intérêt général ou le principe de proportionnalité. Tous ces aspects sont traités et abondamment illustrés dans ce livre, dont la quatrième édition a été considérablement enrichie, à la fois pour embrasser l’intégralité du droit de la presse y compris l’ensemble des règles ne figurant pas dans la loi du 29 juillet 1881, et pour intégrer les évolutions résultant d´une jurisprudence foisonnante et des derniers textes parus, tant au plan national qu'européen. Il s'agit au premier chef d'un véritable manuel pratique et pédagogique destiné aux professionnels de la presse et à tous les praticiens du droit : avocats, magistrats, juristes d´entreprises, mais l’auteur n’hésite pas non plus à aborder en profondeur des questions plus théoriques qui intéresseront enseignants et étudiants. Christophe Bigot est avocat au barreau de Paris, membre du comité éditorial de la revue Légipresse, et auteur de nombreux articles consacrés au droit de la presse dans des revues de référence. Il nous livre ici le fruit de trente années de pratique quotidienne du droit de la presse pour le compte des médias les plus divers, d’entreprises et de personnalités de tous horizons.
N° d'édition : 4
Collection : Hors collection
Parution : Août 2023
Vente internationale de marchandises 2023
Vente internationale de marchandises 2023
Peter Schlechtriem • Claude Witz
La Convention des Nations unies sur les contrats de ventes internationales de marchandises (CVIM) a été adoptée à l'issue d'une conférence qui s'est déroulée à Vienne du 10 mars au 11 avril 1980 et fait suite à la convention de New York du 14 juin 1974 relative à la prescription en matière de vente internationale. Elle a influencé des instruments d'uniformisation et des réformes de droits nationaux, tels l'OHADA et les Principes relatifs aux contrats du commerce international d'UNIDROIT. Au fil des ratifications successives par les Etats membres, elle s'est imposée comme l'instrument principal du commerce international et ses règles se sont imposées  progressivement dans notre droit interne au coté du droit commun des contrats réformé sans pour autant qu'une étude critique d'ensemble n'ait été proposée. Approfondi, ce traité propose une lecture d'ensemble des règles applicables à la vente internationale de marchandise, qu'elle soit régie par la convention de Vienne ou que l'application de cette dernière soit écartée. Cet ouvrage s'adresse aux juristes, avocats, magistrats ou arbitres, confrontés à l'interprétation et l'application des contrats de vente internationale de marchandise au regard des règles de droit applicables et d'une jurisprudence d'autorité persuasive. Claude Witz, professeur honoraire de l'Université de Strasbourg et professeur émérite de l'Université de la Sarre (Allemagne) est un spécialiste reconnu du droit du commerce international et du droit privé français et européen des contrats.
N° d'édition : 2
Collection : Hors collection
Parution : Avril 2023
L'ubérisation du travail
L'ubérisation du travail
Jeremias Adams-Prassl
Que se passerait-il si votre patron était un algorithme ? L’économie des petits boulots promet de révolutionner le travail sous sa forme établie en remplaçant la corvée du 9h-17h par de la flexibilité et de l’indépendance. Les avantages potentiels sont énormes : les consommateurs jouissent de services à la demande facilement accessibles tandis que les micro-entrepreneurs sont à l’affût de petits boulots, de tâches, ou de courses sur des plateformes en ligne. Est-ce le futur du travail ? Ce livre propose une description stimulante du travail dans l’économie des petits boulots à travers le monde. Les récits contradictoires abondent : les petits boulots à la demande génèrent de la flexibilité entrepreneuriale ou du travail précaire, strictement contrôlé par des évaluations de l’utilisateur et de la surveillance algorithmique. La technologie sophistiquée des plateformes est le produit de l’innovation disruptive – alors que le modèle économique sous-jacent existe depuis des siècles. Pouvons-nous protéger les consommateurs et les travailleurs sans brider l’innovation ? Alors que les tribunaux et les gouvernements de par le monde commencent à aborder la problématique de l’économie des petits boulots, ce livre explore les défis du travail à la demande et explique comment nous pouvons assurer des conditions de travail décentes, protéger les consommateurs, et encourager l’innovation. Le droit du travail joue un rôle central dans l’harmonisation des règles du jeu : les petits boulots, les tâches et les courses sont du travail – et devraient être régulés en tant que tels. Jeremias Adams-Prassl est professeur de droit à l’Université d’Oxford. Ses travaux portent notamment sur l’impact de l’intelligence artificielle sur l’avenir du travail. Il tweete sur ces questions @JeremiasPrassl.
N° d'édition : 1
Collection : Hors collection
Parution : Juillet 2021
Le meurtre
Le meurtre
Christian Guéry
Une étude complète et inédite sur l'homicide volontaire, nourrie de références littéraires, mythologiques, sociologiques, philosophiques, d’histoire du droit ou de droit comparé  L’homicide volontaire est une infraction singulière qui nourrit l’imaginaire et la littérature. Devant la cour d’assises, elle présente un aspect particulier : si l’auteur reconnaît parfois sa culpabilité matérielle, il conteste bien souvent avoir eu l’intention de donner la mort. Comment, alors, apporter la preuve d’un élément qui demeure principalement psychologique ? Dès lors que plusieurs personnes sont impliquées dans la commission de l’infraction, se pose également la difficulté de l’individualisation du lien de causalité. Comment résoudre les questions de pluralité d’auteurs ou de complices lorsqu’on ignore qui a porté le coup fatal ? Quelles personnes peuvent être renvoyées devant la juridiction de jugement et sous quelles qualifications ? Après avoir analysé les grands principes de droit pénal général applicables à l’homicide volontaire et les arcanes de la procédure conduisant au procès, l’auteur s’interroge principalement sur ces questions probatoires essentielles. Cet ouvrage s’adresse aux avocats et magistrats ainsi qu’aux étudiants. Il dépasse largement l’étude du droit pénal spécial. L’étudiant y trouvera une étude complète et inédite. Le professionnel à la recherche de références littéraires, mythologiques, sociologiques, philosophiques, d’histoire du droit ou de droit comparé y puisera les éléments de nature à enrichir ses propos d’audience. Christian Guéry a occupé les fonctions de magistrat instructeur pendant dix-neuf ans. Il a aussi représenté le ministère public dans de nombreuses audiences d’assises. Il a présidé la chambre de l’instruction de Grenoble avant d’être nommé conseiller à la chambre criminelle de la Cour de cassation. Auteur de Détention provisoire (2001), Droit et pratique de l’instruction préparatoire (10e éd., 2017), et, avec B. Lavielle, Droit et pratique des audiences correctionnelles (3e éd., 2018), ainsi que de plusieurs centaines de notes de doctrine ; il s’est également intéressé aux rapports entre le cinéma et le droit : Justice à l’écran (2007), Les avocats au cinéma (2011), et entre littérature et droit, avec A. Fabbri, Simenon et la justice (2017).
N° d'édition : 1
Collection : Hors collection
Parution : Janvier 2020
Le logement social en action
Le logement social en action
Bruno Wertenschlag
Lelogement social en France est, entre autre, caractérisé par la spécificité des structures juridiques desopérateurs HLM, l’accès à un financement privilégié pour les opérations de construction et un droit des baux d’habitation propre. Depuis plus de vingt ans, le secteur HLM connaît de profonds bouleversements qui remettent en cause ses fondements issus de l’Après-guerre et la loi du 23 novembre 2018 « évolution du logement, de l’aménagement et du numérique », dite loi ELAN poursuit cette mutation. Elle envisage de regrouper les organismes HLM, les doter de nouveaux outils, et d’améliorer leur gestion et leur solidité, afin qu’ils puissent construire plus de logements sociaux. Cette réforme comme les défis posés au secteur font l’objet du présent ouvrage. Ces organismes sont traités dans leur diversité et dans l’interaction qu’ils entretiennent entre eux selon six axes : la concentration des acteurs, l’optimisation des moyens, la réforme de la gouvernance, la diversification de l’offre, les partenariats public-privé et l’unicité d’objet. Cet ouvrage, qui propose une réflexion relative aux modalités d’évolution des structures et des modes d’intervention actuels, est destiné aux acteurs privés et publics comme outil opérationnel d’accompagnement des réformes majeures en cours. Il intéresserait les organismes d’HLM eux-mêmes (800 environ), leurs clients (professionnels de l’immobilier, banquiers, prestataires de services), les juristes conseils (avocats, juristes de cabinet comptable…), les organisations de défense des consommateurs et les « confrères » du secteur (sociétés d’économie mixte) et les formations universitaires dédiées à l’immobilier. Bruno Wertenschlag est avocat et conseille notamment depuis une trentaine d'années des opérateurs HLM, qu'il a accompagnés à l'occasion des grandes réformes successives du logement social.
N° d'édition : 1
Collection : Hors collection
Parution : Mai 2019
Contrats sur la recherche et l'innovation
Contrats sur la recherche et l'innovation
Etienne Vergès
Les contrats sur la recherche et l’innovation forment un ensemble de contrats d’affaires qui organisent les partenariats scientifiques et la valorisation économique des sciences et technologies. Qu’il s’agisse des contrats de collaboration, de consortium, des licences et cessions, des NDA (non-disclosure agreement) et MTA (material transfer agreement), tous ces contrats ont en commun de traiter un objet particulier : l’information scientifique. Ils nécessitent d’avoir recours à des techniques contractuelles pointues et sont soumis à un environnement juridique complexe (droit civil, propriété intellectuelle, droit européen de la concurrence…).  A jour des textes récents, notamment de la loi du 20 avril 2018 portant ratification de la réforme du droit des contrats, cet ouvrage a été conçu comme un outil de rédaction contractuelle, qui tient compte à la fois des techniques issues de la pratique et de l’analyse du cadre juridique qui s’impose à ces contrats.  Il propose de nombreuses clauses rédigées à la fois en français et en anglais, afin d’ouvrir l’ouvrage sur les accords internationaux des partenaires français, mais également vers l’étranger (par ex. Canada).  L’ouvrage est novateur, car il s’appuie sur l’étude, depuis trois ans, d’une centaine de contrats par l’équipe d’auteurs. Ces contrats, qui ne sont pas accessibles au public, ont été collectés auprès des établissements scientifiques, puis dépouillés et analysés. Pour une grande partie, ces contrats n’ont jamais fait l’objet d’analyse juridique en France et ne sont pas traités dans les ouvrages.  L’ouvrage proposé étant destiné à des professionnels, il sera présenté de façon claire et accessible. Chaque contrat sera analysé selon le plan suivant : 1) Présentation générale du contrat 2) Règles du droit commun applicables à ce contrat (par exemple, rattachement du contrat à un contrat nommé, application des règles du droit de la concurrence, etc.). 3) Analyse clause par clause du contrat (présentation générale de chaque clause + proposition de plusieurs formes de rédaction de chaque clause selon l’objectif poursuivi par le contractant + analyse de la licéité de chaque clause et des contraintes spécifiques liées à la jurisprudence).
N° d'édition : 1
Collection : Hors collection
Parution : Novembre 2018
Commentaire des règlements européens sur les régimes matrimoniaux et les partenariats enregistrés
Commentaire des règlements européens sur les régimes matrimoniaux et les partenariats enregistrés
Ulf Bergquist • Paul Lagarde
Les règlements nos 2016/1103 et 1104 du 24 juin 2016, relatifs respectivement aux régimes matrimoniaux et aux partenariats enregistrés, sontapplicables dans dix-huit des États membres de l’Union européenne aux époux ou partenaires unis après le 29 janvier 2019 ou qui ont désigné après cette date la loi applicable à leur régime. Ils établissent des règles communes sur la compétence, la loi applicable, la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de régimes matrimoniaux et d'effets patrimoniaux des partenariats enregistrés pour les unions qui ont une dimension transfrontalière du fait de la nationalité ou de la résidence de leurs membres ou de la localisation de leurs biens. Ils reposent sur les deux idées que sont l’unité du régime et l’autonomie de la volonté : unité du régime, en ce que le patrimoine du couple dans son ensemble, meubles et immeubles, sera régi par une seule loi et soumis en cas de litige à un même tribunal, ce qui contribuera à la sécurité juridique ; autonomie de la volonté, pour permettre aux époux ou partenaires de choisir pour leur régime la loi qui leur convient et l’État dont ils souhaitent que les juridictions soient saisies en cas de litige. Ce commentaire s’adresse à tous les praticiens – notaires, avocats, magistrats et experts – intervenant dans le domaine du droit matrimonial international pour organiser la situation patrimoniale d’un couple et pourvoir le jour venu à sa liquidation. Les auteurs ont tous fait partie du groupe d’experts de la commission qui a élaboré les projets de règlements. Professeurs et juristes issus de cinq pays européens, ils appréhendent les règlements du 24 juin 2016 avec des expériences différentes. Chacun a pris en charge un chapitre et a relu et commenté ce que ses coauteurs ont écrit : Ulf Bergquist, avocat à Stockholm (Reconnaissance et exécution des décisions) ; Domenico Damascelli, notaire à Bologne et professeur associéà l’université de Salento (Actes authentiques) ; Richard Frimston, solicitor et notaire public à Londres (Compétence, Glossaire) ; Paul Lagarde, professeur émérite à l’École de droit de la Sorbonne (Introduction, Loi applicable) ; Barbara Reinhartz, professeur à l’université d’Amsterdam (Champ d’application, définitions, Dispositions générales et finales).
N° d'édition : 2
Collection : Hors collection
Parution : Novembre 2018
Index de la sécurité juridique. Rapport pour la Fondation pour le droit continental
Index de la sécurité juridique. Rapport pour la Fondation pour le droit continental
Michel Séjean • Bruno Deffains
L’Index de la sécurité juridique (ISJ) ou Index of Legal Certainty (ILC) est un indicateur qui évalue empiriquement la sécurité juridique d’une économie nationale dans un contexte de comparaisons internationales. Réalisé par une équipe pluridisciplinaire de juristes et d’économistes pour le compte de la Fondation pour le Droit continental et en relation avec de nombreux praticiens du droit, ce rapport définit une méthodologie spécifique appliquée à 10 domaines du droit dans 18 pays cibles. Des extensions originales sont proposées en croisant l’indicateur ISJ obtenu avec d’autres sources telles que l’indicateur Rule of Law de la Banque mondiale. Les résultats présentés permettent de déterminer le système offrant le plus de garanties en matière de sécurité juridique. Les traitements empiriques réalisés démontrent l’importance de la sécurité juridique pour le développement économique d’un pays et mettent en exergue l’intérêt à associer sécurité juridique et État de droit. L’Index de la sécurité juridique (ISJ) soutient qu’une sécurité juridique raisonnée ne sous-entend ni immobilisme, ni minimalisme voire absence de toute contrainte législative ou réglementaire. Toutefois, elle suppose l’accessibilité du droit effectivement applicable, son intelligibilité, sa prévisibilité, une certaine stabilité dans le temps, et enfin l’équilibre entre les intérêts économiques des parties en présence. Rédigé en français et en anglais, l’Index de la sécurité juridique (ISJ) permettra à tous ceux qui sont engagés dans le débat sur la performance et l’attractivité économique et juridique des pays (avocats d’affaires, chercheurs ou décideurs publics et privés) d’accéder à une approche renouvelée de la question. Bruno Deffains est professeur à l’Université Paris II Panthéon-Assas, membre de l’Institut universitaire de France et directeur du Centre de recherches en économie et droit (CRED) de l’Université Paris II Panthéon-Assas. Michel Séjean est professeur à l’Université BretagneSud.
N° d'édition : 1
Collection : Hors collection
Parution : Juillet 2018
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