Préface de Michel Verpeaux
[…] Il est fréquent, presque par réflexe, de nier la possibilité de lacunes en présentant les constitutions en général – et celle de 1958 en particulier – comme étant nécessairement complètes, en ne considérant les lacunes que comme une vue de l’esprit. Cette affirmation méritait d’être évaluée.
[…] La thèse...